lundi 29 octobre 2012

Projet Enbridge à Montréal en 2013 : Suncor et Ultramar intéressées..


Projet d'Enbridge

Le raffinage du pétrole des sables bitumineux au Québec?

Première publication 22 octobre 2012 à 17h06
source web : tvanouvelles.ca/lcn/economie/archives/.../20121022-170614.html
Crédit photo : Agence QMI
L'ancienne raffinerie Shell de Montréal-Est.
Par Mélanie Loisel | Agence QMI
Du pétrole issu des sables bitumineux de l'Alberta sera bel et bien acheminé et aussi raffiné au Québec si le projet d'Enbridge de renverser le flux du pipeline de Sarnia en Ontario à Montréal va de l'avant.
Enbridge va faire une autre demande, le 15 novembre prochain, à l'Office national de l'énergie pour pouvoir transporter du pétrole de l'Ouest canadien jusqu'au Québec.
Une première demande a déjà été faite pour renverser le flux du pipeline numéro 9 de Sarnia à Westover en Ontario, et cette deuxième demande vise à renverser le flux de Westover à Montréal.
Si la demande d'Enbridge est acceptée, du pétrole de l'Alberta issu des sables bitumineux pourra être acheminé jusqu'au Québec.
«Ça va dépendre de la demande des raffineries au Québec. Si Suncor et Ultramar demandent à avoir du pétrole des sables bitumineux, ce sera possible avec le renversement du pipeline», affirme Kenneth Wall, porte-parole d'Enbridge.
Suncor et d'Ultramar intéressées
Suncor reconnaît qu'elle a des visées sur le pétrole de l'Ouest canadien. Le renversement du pipeline d'Endbridge permettrait à la raffinerie située dans l'est de Montréal de s'approvisionner en pétrole conventionnel et aussi en pétrole lourd comme celui issu des sables bitumineux.
«Nous sommes en mesure de traiter à notre raffinerie du bitume dilué qu'on appelle du dilbit qui est une sorte de pétrole issu des sables bitumineux et qui ressemble à celui qu'on fait déjà venir du Mexique», confirme Dean Dussault chargé des communications chez Suncor.
«On pourrait à l'avenir traiter le pétrole fait à partir des sables bitumineux, mais il faudrait qu'on investisse dans nos équipements pour pouvoir le faire et ce n'est pas prévu pour le moment», ajoute-t-il.
À Lévis, Ultramar voit aussi le renversement du pipeline d'Enbridge d'un bon œil. La raffinerie n'est toutefois pas équipée pour traiter du pétrole des sables bitumineux, mais elle pourrait raffiner du pétrole valorisé également appelé pétrole synthétique et qui est fait à partir des sables bitumineux.
«Le pétrole valorisé subit en quelque sorte une première transformation pour enlever les résidus lourds des sables bitumineux et le rendre plus léger. Nous serions très intéressés à faire venir ce pétrole de l'Ouest», confirme Michel Martin, directeur des affaires publiques chez Ultramar.
Si le pipeline numéro 9 est renversé, Suncor et Ultramar envisagent, toutes deux de faire venir également du pétrole conventionnel de l'Alberta qui est moins cher que celui qui arrive de l'Europe du Nord, de l'Afrique et du Moyen-Orient.
À Québec, la ministre des Ressources naturelles, Martine Ouellet, affirme qu'elle est d'ailleurs en train d'examiner le projet d'Enbridge.
«La diversification des sources d'approvisionnement en pétrole est très intéressante. On sait que les coûts sont plus bas dans l'Ouest. Alors nous sommes en train d'examiner le dossier pour favoriser l'industrie de transformation tant à Montréal qu'à Québec», a-t-elle dit.

Pipe-Line Montréal ltée: des citoyens de Saint-Césaire demande une étude environnementale à Québec


Oléoduc: St-Césaire réclame une étude du BAPE

Une trentaine de citoyens de Saint-Césaire ont assisté à la soirée d'information sur le projet d'inversion de l'oléoduc Montréal-Portland de la compagnie Pipe-Lines Montréal Limitée, hier soir.Éric Patenaude
Une trentaine de citoyens de Saint-Césaire ont assisté à la soirée d'information sur le projet d'inversion de l'oléoduc Montréal-Portland de la compagnie Pipe-Lines Montréal Limitée, hier soir.
Éric Patenaude
Publié le 25 Octobre 2012 
Éric Patenaude 

Le mouvement d’opposition face à l’inversion du flux du pétrole de Pipe-Lines Montréal Limitée (PLML) s’étend à Saint-Césaire. Préoccupé par les risques environnementaux de ce projet pétrolier reliant Montréal-Est à Portland, au Maine, le maire Guy Benjamin demande une étude du Bureau des audiences publiques sur l’environnement (BAPE).

http://www.granbyexpress.com/Actualites/2012-10-25/
Sujets : 
BAPE , Comité pour l’environnement de Dunham , CEDSaint-Césaire , Alberta , Portland
«S’il arrivait un dégât, ça serait catastrophique à Saint-Césaire. Actuellement, on se sent impuissant», a indiqué le maire Guy Benjamin. L’élu a fait cette déclaration devant une trentaine de citoyens lors de la soirée d’information sur le projet d’inversion du pipeline Montréal-Portland tenue à l’hôtel de ville de Saint-Césaire, hier soir.
Le projet de PLML consiste à inverser l’écoulement du pétrole de l’oléoduc afin d’acheminer du pétrole brut (sables bitumineux de l’Alberta) vers Portland, au Maine. Un premier pas dans la réalisation du projetTrailbreaker élaboré par la compagnieEnbridge qui désire alimenter des raffineries du Texas à partir des sables bitumineux canadiens.
Construit au début des années 50, l’oléoduc traverse 15 municipalités, dont Sainte-Angèle-de-Monnoir, Saint-Césaire, Farnham, Cowansville, Dunham et Sutton.
La Ville de Saint-Césaire aurait tenté d’obtenir des garanties du côté de la direction de PLML, mais en vain. Les questions de sécurité environnementale en regard à une éventuelle inversion du flot de pétrole seraient restées sans réponses, soutient le maire Guy Benjamin. L’entreprise aurait simplement laissé savoir qu’aucun problème ne serait survenu antérieurement.
On se rappellera que le 10 novembre 1999, un déversement de 45 000 litres de pétrole brut est survenu à la station de pompage de Saint-Césaire appartenant à PLML. Selon des rapports obtenus par le Comité pour l’environnement de Dunham (CED), une partie du pétrole déversé (36 000 litres) a été récupérée. Le hic? Les puits d’alimentation en eau potable de la Ville sont à un kilomètre de la station de pompage, dont l’un se trouve à 500 mètres des installations de PLML.
«La Ville est très au fait et on demande un BAPE», a lancé le maire de Saint-Césaire.
Présente à la rencontre, la députée péquiste d’Iberville, Marie Bouillé, s’est dite favorable à une audition du BAPE pour faire toute la lumière dans ce dossier. 
«Je veux des audiences et je veux qu’il (BAPE) vienne sur le terrain dans les municipalités concernées», a affirmé la parlementaire. «Ce qu’on ne sait pas, c’est les réels risques de l’inversion. On a seulement des hypothèses. Avec le BAPE, les risques, les avantages, les pour et les contre du projet nous seraient présentés», a-t-elle ajouté.
Par ailleurs, Marie Bouillé a promis d’aborder le dossier de la compagnie PLML à son collègue Daniel Breton, ministre de l’Environnement, dans les prochains jours. «Il va avoir de la petite visite et une discussion avec Marie Bouillée», a mentionné la députée.
D’après le CED, les citoyens de Saint-Césaire et ceux des municipalités traversées par l’oléoduc ont raison de s’inquiéter des risques de l’inversion. «Leurs installations  (à la PLML) sont loin d’être prêtes pour l’inversion. Plus on fouille, plus on croit qu’il faut des audiences du BAPE», mentionne Jean-Pierre Gravel, du Comité pour l’environnement de Dunham.

dimanche 28 octobre 2012

Oléoduc de Pipe-Lines Montréal Ltée : impossibilité de créer un BAPE selon le parti Québécois


source web : http://www.lapresse.ca/la-voix-delest/actualites/201210/26
Publié le 27 octobre 2012 à 05h00 | Mis à jour le 27 octobre 2012 à 05h00

Le PQ renie un engagement électoral



Le projet d'inversion inquiète nombre de citoyens et d'administrations municipales. Ils craignent que l'âge de l'oléoduc concerné, construit en 1950, et le type de pétrole transporté (hautement corrosif) ne mène à des fuites et à des déversements. Plusieurs puits privés, sources d'eau potable des municipalités et zones environnementales fragiles se trouvent à proximité de l'oléoduc, font-ils valoir.

Michel Laliberté
MICHEL LALIBERTÉ
La Voix de l'Est
(Granby) Le gouvernement péquiste ne mandatera pas le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) pour examiner le projet de Pipe-Lines Montréal d'inverser le sens d'écoulement de son oléoduc reliant Montréal et Portland. Il renie ainsi l'engagement pris par quatre de ses candidats à la dernière élection.






«Ce sont des infrastructures qui sont déjà existantes. On ne peut pas faire grand-chose là-dessus; c'est un dossier de juridiction fédérale», a indiqué Danielle Rioux, attachée de presse du ministre responsable du BAPE, Daniel Breton. «La sécurité de ces installations, malheureusement, c'est le fédéral qui s'en occupe.»
Le 14 août dernier, alors en pleine campagne électorale, les candidats du Parti québécois Scott Mackay (circonscription de Repentigny), Marie Bouillé (Iberville), Richard Leclerc (Brome-Missisquoi) et Michel Breton (Orford) ont affirmé en conférence de presse qu'un gouvernement mené par le PQ demanderait au BAPE d'étudier le projet de PLM. À cette occasion, M. Scott, alors critique de l'opposition en matière d'environnement, reconnaissait que le projet tombait sous la juridiction du gouvernement fédéral et que Québec ne pouvait le bloquer, mais jugeait important que le BAPE évalue les impacts sur l'environnement des risques d'exporter du pétrole des sables bitumineux provenant de l'Alberta vers les États-Unis. «Le PQ s'engage à se tenir debout devant Ottawa. On va défendre les intérêts des Québécois quoi qu'il advienne», avait-il soutenu.
En entrevue à La Voix de l'Est hier, Mme Rioux a dit ignorer que les quatre candidats s'étaient ainsi engagés auprès des électeurs. «Cet engagement-là, on n'était pas au courant qu'il a été pris», a-t-elle dit. «Peut-être est-ce dans le programme de la région. On est en train de vérifier.»
Tous les détails dans notre édition de samedi

ÉTIENNE FORTIN-GAUTHIER
La Voix de l'Est
(Granby) Des acteurs de la région opposés au projet d'inversion du flux de pétrole du pipeline entre Montréal et Portland prient le Parti québécois de respecter ses engagements. Ne pas aller de l'avant avec la promesse d'une intervention rapide du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) dans le dossier constituerait une grave erreur, disent-ils.
«L'engagement était très clair en août. Le Parti québécois s'est engagé à faire un BAPE. Depuis le début, il y a plusieurs années, le Parti québécois est là et nous supporte. Si le PQ nous laissait tomber, ça serait un grand pas en arrière», affirme le maire de Dunham, Jean-Guy Demers.
Pour le premier magistrat de la ville, il est incompréhensible d'apprendre que le dossier du pipeline n'est pas une priorité nationale pour le Parti québécois. «S'il y avait un déversement à Dunham, avant que l'entreprise ferme les vannes, ça prendrait 4 heures et on se ramasserait avec de l'huile dans la Yamaska. Il n'y aurait plus d'eau potable pour Cowansville et ça se ramasserait jusqu'à Montréal. Ça serait une catastrophe nationale, pas juste régionale», affirme-t-il.
Selon M. Demers, le ministre de l'Environnement doit impérativement mobiliser le BAPE dans le dossier, même si le projet d'inversion de sens du pipeline semble être sur la glace. «Il faut avoir un pas en avant d'eux», insiste-t-il en faisant référence à l'entreprise Pipe-Lines Montréal.
Tous les détails dans notre édition de samedi

jeudi 25 octobre 2012

Le Bureau des Audiences Publiques sur l'Environnement change de tête dirigeante..


Publié le 11 octobre 2012 à 05h00 | Mis à jour le 11 octobre 2012 à 05h00

Le congédiement du patron du BAPE

VALÈRE AUDY
La Voix de l'Est
Daniel Breton, le nouveau ministre du Développement durable et de l'Environnement, vient d'avoir la tête de Pierre Renaud, le grand patron du Bureau des audiences publiques sur l'environnement (BAPE). Il la voulait d'ailleurs depuis un bon moment en raison de nettes divergences dans le dossier du gaz de schiste. Ça fait aussi le bonheur d'autres environnementalistes qui rêvent davantage d'un moratoire complet et quasi permanent plutôt que d'études et rapports sur le sujet.








Les verts croient évidemment que M. Renaud couchait avec les libéraux. Sauf que le personnel du BAPE en reconnaît l'expertise et en décrit l'intérêt pour le développement durable. M. Breton, tel un détenteur de la vérité, a décidé de le liquider. Cela alors qu'il reste des rapports à venir. Là-dessus, comme sa collègue Martine Ouellet dont Mme Marois a dû tempérer les propos, il est un peu trop vite sur la gâchette. D'autres ministres du nouveau gouvernement sont plus prudents.
A-t-on raison de sacrifier M. Renaud, qui n'est d'ailleurs pas le premier grand serviteur à tomber à la suite d'un changement de gouvernement? Il faudrait en connaître un peu plus pour répondre à cette question. Et, notamment, savoir si Daniel Breton est un ministre responsable, donc au-dessus de la mêlée et prêt à explorer toutes les avenues, ou s'il n'est toujours que le missionnaire d'une cause. Bref, a-t-il changé de chapeau comme il devrait le faire pour devenir le ministre de tous les Québécois plutôt que des verts seulement et, à ce titre, considérer toutes les options et s'assurer ainsi une meilleure crédibilité?
Quant au grand patron du BAPE, la suggestion de le faire nommer par l'Assemblée nationale avec les deux tiers des voix plutôt que par le parti au pouvoir mérite d'être considérée. Le même processus devrait s'appliquer pour les autres grands serviteurs de l'État, dont les patrons des divers organismes et sociétés d'État. Ces dirigeants jouiraient ainsi de plus de liberté et échapperaient aux réactions intempestives des mécontents

mercredi 24 octobre 2012

Sables bitumineux au Québec : Montréal-Pipe-Lines et Enbridge passent par la fenêtre...??

TVA-Nouvelle économique
publié le 22 octobre 2012


Sables bitumineux Quelle urgence de renverser le flux du pipeline d'Enbridge?
Par Mélanie Loisel | Agence QMI
Depuis quelques semaines, Enbridge mène une grande campagne de séduction, à coup de publicités et de rencontres avec les citoyens, pour mieux faire connaître son projet de renverser le flux de son pipeline qui permettra d'acheminer au Québec du pétrole de l'Ouest canadien.
Alors que son projet de pipeline Northern Gateway est vivement dénoncé en Colombie-Britannique, de nombreux observateurs se demandent quel est le véritable intérêt d'Enbridge de renverser le flux de son pipeline? Quelle est l'urgence de le faire maintenant?
Le directeur général d'Équiterre, Steven Guilbault, est convaincu que les réelles intentions d'Enbridge est d'acheminer du pétrole des sables bitumineux aux États-Unis et pas seulement, pour desservir les raffineries de Montréal et de Québec.
«On sait que des représentants du consulat canadien et de Montréal Pipeline sont allés rencontrer des représentants dans le nord-est des États-Unis pour promouvoir l'arrivée des sables bitumineux», mentionne monsieur Guilbault.
Chez Montréal Pipeline, le porte-parole Denis Boucher confirme qu'il y a bel et bien eu une rencontre avec le gouverneur du Vermont, mais qu'il n'y a pas eu de discussions sur le projet d'Enbridge. «Enbridge ne nous a pas fait de demandes formelles d'inverser notre le flux de notre pipeline qui va de Portland au Maine à Montréal», affirme monsieur Boucher. « Mais techniquement, c'est possible d'acheminer le pétrole de l'Ouest aux États-Unis si le pipeline d'Enbridge est renversé et si le nôtre l'était aussi », ajoute-t-il.
Enbridge maintient que son projet vise uniquement à desservir l'Est canadien et qu'il n'a pas discuté avec Montréal Pipeline pour acheminer du pétrole aux États-Unis. « On a déjà des pipelines dans l'Ouest qui se rendent à Chicago et qui peuvent fournir la Pennsylvanie et New York », affirme monsieur Kenneth Wall porte-parole d'Enbridge.
L'urgence de renverser le pipeline numéro 9 serait surtout attribuable aux compagnies pétrolières qui exploitent les sables bitumineux en Alberta. L'industrie cherche de nouveaux débouchés en raison des controverses entourant le projet de Northern Gateway, qui vise à construire un pipeline de l'Alberta au port de Kitimat en Colombie-Britannique, en vue d'exporter le pétrole en Asie.
Ce projet est, par contre, vivement dénoncé dans l'Ouest canadien par les environnementalistes, les Première Nations et la société civile.
Devant ce blocus, les compagnies pétrolières commenceraient donc à s'intéresser au renversement des flux des pipelines comme le projet d'Enbridge et même au prolongement du pipeline de Transcanada jusqu'à Montréal pour pouvoir exporter le pétrole en Asie via la côte est plutôt que la côte ouest.
Une dizaine de compagnies dont Total, Suncor, Nexen et les chinoises Sinopec et Cenovus, étaient d'ailleurs prêtes à faire un partenariat avec Enbridge pour être propriétaires à 50% du pipeline Northern Gateway dans l'Ouest canadien.
Ces compagnies y voyaient l'occasion de pouvoir s'approvisionner à plus bas prix. Alors est-ce que le pipeline numéro 9, dont le pétrole passera éventuellement par le Québec, pourrait être leur seul point de salut ?

Equiterre appelle à la vigilance au Québec

Appel à la vigilance !

La compagnie pétrolière Enbridge organise depuis quelques semaines au Québec, en catimini, des rencontres publiques pour informer les citoyens de son projet d’inverser le flux de ses pipelines et d’y faire couler des sables bitumineux. 

Équiterre est très préoccupé par l’inversion du flux et de l’arrivée des sables bitumineux au Québec pour des raisons de sécurité et de risques de fuites pouvant causer une pollution sans précédent.
- La compagnie Enbridge est responsable du plus couteux déversement pétrolier en sol nord-américain, celui de la rivière Kalamazoo au Michigan, en 2010.
- Le pipeline qu’Enbridge veut inverser au Québec, nommé Ligne 9, a été construit au début des années 70, il a donc plus de 40 ans; et il a été construit pour transporter du pétrole léger et non du pétrole lourd comme celui des sables bitumineux;
- Le pétrole brut des sables bitumineux est beaucoup plus corrosif et abrasif que le pétrole conventionnel transporté actuellement;
-  L’inversion d’un pipeline est risquée, encore davantage lorsqu’il est âgé comme celui-ci. De nombreuses fuites ont eu lieu sur des pipelines âgés ou inversés.

Équiterre aimerait pouvoir compter sur votre vigilance et votre présence en région afin que vous surveilliez les rencontres qu’Enbridge s’apprête à organiser principalement dans la région de l’Estrie et de Lanaudière.

Nous savons qu’Enbridge a tenu le 2 et le 3 octobre dernier, à Montréal puis à Mirabel, des rencontres « portes ouvertes » communautaires concernant son projet d’inversion de la canalisation 9B qui transporte du pétrole brut de l’Ontario jusqu’à Montréal en passant par Mirabel.

Selon une pratique peu transparente de la part d’Enbridge, cette rencontre organisée en catimini, a permis d’informer 35 puis 17 citoyens seulement. Enbridge utilisera ensuite ces rencontres pour prétendre que le public a été informé et est en faveur de ces travaux !

Si vous entendez parler dans votre région, qu’Enbridge tient une séance d’information, informez-nous en envoyant un courriel à ldehoux@equiterre.org ou en appelant le 514 605 2000.

De plus, nous vous invitons à vous rendre à ces rencontres et à poser des questions sur les risques de fuites, l’acheminement de sables bitumineux par pipeline et sur les projets d’Enbridge et Suncor de raffiner des sables bitumineux à Montréal dans les prochaines années. Il est très important que les citoyens participent à ces discussions.

Si vous voulez en savoir davantage sur les intentions de cette compagnie pétrolière, nous vous invitons à consulter les documents suivants :
http://www.equiterre.org/communique/equiterre-demande-l’aide-et-la-vigilance-de-la-population-face-a-l’arrivee-des-sables-bit
http://www.equiterre.org/actualite/le-petrole-des-sables-bitumineux-pourrait-causer-des-deversements-plus-frequents-et-plus-g


Merci de votre collaboration !!

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vendredi 19 octobre 2012

October 15 

Maine Voices: Much at stake for Maine as possibility of tar sands pipeline looms

Pumping diluted bitumen to Portland presents the risk of a major spill tainting Sebago Lake or Casco Bay.

By KRISTIN MOE
source web : http://www.pressherald.com/opinion/much-at-stake-for-maine-as-possibility-of-tar-sands-pipeline-looms_2012-10-15.html
PORTLAND - Conservation groups recently held a news conference to sound the alarm over an oil pipeline project that isn't even officially on the table. What's the big deal?
TAR SANDS
click image to enlarge
A truck carries loads of oil-laden sand at the Albian Sands oil sands project in Fort McMurray, Alberta, in 2005. Oil from tar sands is “highly toxic, corrosive and hot,” a reader says.
2005 File Photo/The Associated Press
It seems simple: Take an existing oilpipeline that connects tankers in Casco Bay to refineries in Montreal and pump a different kind of oil through it in the opposite direction. The difference seems minor.
The difference is that this is no ordinary oil. It's called "diluted bitumen," and it's highly toxic, corrosive and hot -- and, according to a recent report by the Cornell University Global Labor Institute, three times more likely to spill than conventional crude.
A spill would threaten Sebago Lake, where Greater Portland gets its drinking water, or even Casco Bay and its fisheries. One spill here could be devastating.
I spent the last three months in Alberta, Canada, at the tar sands, the source of this so-called "oil." It's the second-largest petroleum deposit in the world -- roughly the size of Florida -- and an industrial megaproject of unimaginable scale.
Much of the bitumen is mined in open pits that stretch out to the horizon, an ecological dead zone. The waste water from the processing is dumped into vast toxic lakes, witches' brews of arsenic, mercury and countless other carcinogens. The smell is sickening. It gets into your clothes, your skin.
I spoke with people who live on the edge of this wasteland, whose health and livelihoods have been destroyed by the tar sands industry. High rates of cancer are normal for these communities, where fishermen bring up deformed fish in their nets, evidence of hidden pollution. A woman named Susana -- who now works to fight the abuses of the tar sands industry -- lost 13 members of her extended family to cancer. In one month.
I stood in the middle of a crude oil spill, saw it coat the grassy banks of a river, rubbed the sticky tar between my fingertips. The next week, the pipeline company responsible for the spill said it would be cleaning up only some of the oil, and that the 100,000 people affected were "lucky" that it wasn't worse.
The broader political and economic arguments around the tar sands are heated and complex, and there are big bucks at stake for governments and oil companies. The important thing, though, is that every time a pipeline crosses a community or threatens a water source -- from Texas to Montana to Vancouver to Maine -- people are beginning to ask: Who's really going to benefit? And who will bear the risk?
These pipelines connect us all: to each other, through our shared risk, and to the communities in Alberta that are most affected, and that deal with the consequences of our oil addiction every day.
Recently, I spoke with a pipeline expert at the Canadian company Enbridge -- on the condition of anonymity, since Enbridge is behind this project -- who confessed to me that, in his opinion, the tar sands industry and its pipeline infrastructure are risky and unsound. He's looking for a new job.
Pipelines spill, he told me, because they're created and monitored by humans. Oil spills will happen. And if Enbridge's tragic record in Michigan -- where a 2010 pipeline break resulted in the discharge of at least 843,444 gallons of oil into the Kalamazoo River -- is any indication, they can happen on a devastating scale.
I'm new in Portland. Over the last few weeks I've explored Maine up and down, talking to people, hearing their stories. I have seen, in a million small ways, how connected Mainers are with the land, be they fishermen, hunters or lovers of autumn leaves.
I have seen, too, how essential water is to Maine's character and livelihood: the boats in Casco Bay, the rocky coasts, the fishing industry, the lakes where mist rises on cold autumn mornings.
This land and this water are too precious to be put at risk.
Kristin Moe is a Washington, D.C.-based writer and activist who is enrolled this fall at the Salt Institute for Documentary Studies in Portland.

Exxon Mobil rachète le pétrolier canadien Celtic Exploration


(AOF) - ExxonMobil a annoncé le rachat du groupe canadien d'exploration pétrolière et gazière Celtic pour 3,1 milliards de dollars canadiens (2,36 millions d'euros), incluant une reprise de dette. Le numéro un mondial de l'énergie versera 24,5 dollars canadiens par titre, soit une prime de 35% par rapport au prix de clôture de mardi à la Bourse de Toronto. Cela représente 2,6 milliards de dollars canadiens pour les quelque 105,6 millions de titres en circulation. Ils recevront également une demi-action d'une nouvelle entreprise qui sera dirigée par l'actuelle équipe de direction de Celtic.
La transaction a été approuvée à l'unanimité par le conseil d'administration de Celtic, mais doit encore être approuvée par ses actionnaires et créanciers.
CALGARY, ALBERTA -- (Marketwire) -- 10/17/12 --
Exxon Mobil Corporation (« ExxonMobil ») (NYSE : XOM) et Celtic Exploration Ltd. (« Celtic ») (TSX : CLT) ont annoncé aujourd'hui que les sociétés affiliées d'ExxonMobil au Canada, notamment Exxon Mobil Canada Ltd. (« ExxonMobil Canada »), et Celtic viennent de conclure un contrat en vertu duquel une filiale d'ExxonMobil Canada fait l'acquisition de toutes les actions ordinaires en circulation de Celtic au prix de 24,50 dollars canadiens par action au comptant. En outre, les actionnaires de Celtic recevront 0,5 action de la nouvelle entreprise, 1705972 Alberta Ltd. (« Spinco »), pour chaque action ordinaire Celtic.
La transaction est évaluée à environ 3,1 milliards de dollars canadiens (exclusion faite de la valeur estimée des actions Spinco), ce qui inclut les obligations convertibles en cours de Celtic ainsi que les créances bancaires et le fonds de roulement obligatoire. La transaction devrait être conclue selon un plan d'arrangement en vertu des termes du Business Corporations Act (Alberta).
Points essentiels :
- Le prix s'élève à 24,50 dollars canadiens par action Celtic au comptant
- Les actionnaires Celtic recevront également 0,5 action de la nouvelle société, qui sera
dirigée par l'équipe de direction actuelle de Celtic
- La transaction a été approuvée à l'unanimité par le Conseil d'administration
de Celtic
Sur la base de l'apport en numéraire (exception faite de la valeur des actions Spinco), le montant de la transaction représente une majoration de 35 % par rapport au cours de clôture des actions de Celtic à la Bourse de Toronto, lequel s'élevait à 18,12 dollars canadiens le 16 octobre 2012, et de 34 % par rapport au prix moyen des actions Celtic échangées sur une période de 30 jours de bourse, lequel s'élevait à 18,28 dollars canadiens par action au cours de clôture du 16 octobre 2012.
Informations sur la transaction
Suite à un examen et une analyse approfondis de la transaction proposée et à l'étude d'autres solutions alternatives, le Conseil d'administration de Celtic a conclu à l'unanimité que cette transaction sert au mieux les intérêts de Celtic et est équitable pour les détenteurs de titres de la société. Le Conseil d'administration de Celtic a approuvé la transaction à l'unanimité et a décidé de recommander aux actionnaires et aux obligataires de la société de voter en faveur de cet arrangement. Tous les dirigeants et directeurs de Celtic, qui représentent au total environ 17,5 % des actions ordinaires en circulation (sur une base pleinement diluée), ont conclu des accords d'incessibilité avec ExxonMobil Canada pour soutenir la transaction, en vertu desquels ils acceptent de voter en faveur de la transaction pour le nombre d'actions ordinaires ou d'emprunts obligataires convertibles qu'ils détiennent.
Les sociétés FirstEnergy Capital Corp. et RBC Capital Markets ont respectivement communiqué des attestations au Conseil d'administration qui stipulent qu'à la date de la convention d'arrangement, la contrepartie à verser aux actionnaires et aux obligataires est équitable d'un point de vue financier pour les détenteurs de titres Celtic.
L'accord conclu entre ExxonMobil Canada et Celtic prévoit, entre autres, une convention de non sollicitation de la part de Celtic, sous réserve de dispositions de « résiliation fiduciaire » en vertu desquelles Celtic est en droit d'étudier et d'accepter une proposition jugée plus intéressante et ExxonMobil Canada de s'aligner à cette offre supérieure. La convention d'arrangement prévoit des frais de résiliation s'élevant à 90,0 millions de dollars canadiens auxquels devra s'acquitter Celtic dans certaines circonstances si la transaction n'est pas finalisée.
La clôture de la transaction est soumise aux conditions de clôture usuelles, y compris le dépôt auprès des autorités judiciaires, les approbations des actionnaires et des autorités réglementaires, notamment en vertu de l'Investment Canada Act (loi sur l'investissement du Canada) et du Competition Act (loi sur la concurrence). Les détenteurs de titres Celtic seront invités à voter la transaction au cours d'une assemblée extraordinaire des détenteurs de titres. Pour être finalisée, la transaction devra être approuvée par les deux tiers des votes émis par les actionnaires en personne ou par procuration lors de la réunion.
En vertu de la transaction proposée, les détenteurs d'obligations Celtic convertibles subordonnées sans garantie en circulation recevront des actions ordinaires Celtic, y compris des actions soumises au paiement intégral versé en vertu des termes des obligations dont le total correspondra au montant qu'ils auraient perçu en temps normal, suite à la finalisation de l'arrangement si celles-ci n'étaient pas acquises en vertu de l'arrangement, en plus des intérêts courus à la date de clôture et des intérêts supplémentaires cumulés sur 32 jours. Les actions Celtic ordinaires reçues par les obligataires en vertu de l'arrangement seront échangées, dans le cadre de l'arrangement, pour la même somme versée aux autres détenteurs d'actions ordinaires Celtic, à savoir 24,50 $ au comptant et 0,5 action Spinco.
Les obligataires Celtic seront invités à voter l'arrangement, toutefois la finalisation de celui-ci n'est pas soumise à leur approbation. Si l'approbation des obligataires n'est pas obtenue, les obligations seront exclues de l'arrangement et resteront en circulation suite à la finalisation de l'arrangement et soumises aux termes du contrat qui les régit.
Une circulaire d'information au sujet de l'arrangement devrait être envoyée aux détenteurs de titres à la fin du mois de novembre en vue d'une assemblée extraordinaire des détenteurs d'actions ordinaires et d'obligations qui devrait avoir lieu à la fin du mois de décembre ; la transaction devrait être conclue dans les meilleurs délais raisonnables suite au vote des détenteurs de titres et de l'approbation des autorités réglementaires.
Un exemplaire de la convention d'arrangement et de la circulaire d'information ainsi que d'autres documents connexes seront déposés auprès des autorités de réglementation canadiennes et pourront être consultés à l'adresse suivante :www.sedar.com.
FirstEnergy Capital Corp. et RBC Capital Markets ont tous deux fourni des attestations d'équité au Conseil d'administration de Celtic en ce qui concerne les intérêts des actionnaires et des obligataires vis-à-vis de la transaction proposée. Un exemplaire de chaque attestation sera joint à la circulaire d'information envoyée aux détenteurs de titres de Celtic en vue de l'assemblée extraordinaire prévue pour étudier l'arrangement. Borden Ladner Gervais LLP agit en tant qu'avocat-conseil de Celtic.
À propos de Celtic Exploration
Celtic est une société canadienne pétrolière et gazière basée à Calgary dans la province de l'Alberta, spécialisée dans l'exploration, le développement et la production de pétrole brut et des ressources de gaz naturel, principalement dans le Centre-Ouest de l'Alberta. Celtic détient d'importants avoirs fonciers dans les régions du Montney et Duvernay, riches en ressources de gaz. Celtic a cumulé au fil du temps de solides antécédents en développant les réserves, la production et en déterminant la valeur intrinsèque de la société pour ses actionnaires. Les actions ordinaires de Celtic sont cotées à la Bourse de Toronto sous le symbole « CLT ».
À propos de Spinco
Spinco sera une nouvelle entreprise cotée en bourse et spécialisée dans l'exploration et la production gazière et pétrolière, qui sera dirigée par l'équipe de direction actuelle de Celtic, notamment par David J. Wilson et Sadiq H. Lalani. Spinco sera une entreprise axée sur la croissance, dont la production s'élèvera à environ 3 300 barils d'équivalent pétrole par jour, dont 90 % seront tirés de sa production de gaz et 10 % de sa production de pétrole avec une position foncière initiale d'une superficie d'environ 49 000 acres nettes non mises en valeur. Les actifs de Spinco consisteront en trois principaux domaines : une propriété gazière à Grande Cache, dans l'Alberta ; une propriété de gaz naturel riche en liquide à Inga, en Colombie-Britannique ; et une prospection pétrolifère à Karr, dans l'Alberta. Spinco prévoit la finalisation d'une opération à diffusion restreinte sans entremise de courtier en même temps que la finalisation de l'acquisition de Celtic, en émettant jusqu'à 6,0 millions d'actions ordinaires Spinco à un prix égal à la valeur de l'actif net par action Spinco, ce qui s'adresse principalement aux dirigeants, aux directeurs et aux employés de Spinco. La valeur de l'actif net par action Spinco est évaluée à 2,32 $ sur la base d'une évaluation technique indépendante dans le cadre de laquelle la valeur nette actuelle des réserves prouvées et des réserves probables est déduite de 10 % avant impôt.
Mise en garde concernant les déclarations prospectives
Le présent communiqué de presse contient des informations et des énoncés prospectifs au sens des lois sur les valeurs mobilières applicables. L'utilisation de termes tels que « s'attendre à », « anticiper », « continuer », « estimer », « objectif », « en cours », « peut », « fera », « projet », « devrait », « croire », « planifier », « avoir l'intention » et autres expressions similaires visent à identifier des énoncés ou informations prospectives. En particulier, les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse comprennent, sans s'y limiter, la date prévue de la réunion des détenteurs de titres et de clôture de la transaction ; les projets de Spinco et la contrepartie estimée à verser aux obligataires.
Les énoncés et les informations de nature prospective sont fondés sur certaines attentes et hypothèses fondamentales formulées par Celtic, y compris, mais sans s'y limiter, les attentes et les hypothèses relatives à la capacité d'obtenir toutes les approbations réglementaires requises pour la transaction, y compris, mais sans s'y limiter, l'actionnaire, les approbations judiciaires et réglementaires. Bien que Celtic estime que les attentes et les hypothèses sur lesquelles ces énoncés et informations de nature prospective sont fondées soient raisonnables, une confiance indue ne doit pas être placée sur les énoncés et informations de nature prospective car rien ne garantit leur exactitude.
Du fait que les énoncés et informations de nature prospective se rapportent à des événements ou à des conditions futurs, ils impliquent des risques et des incertitudes inhérents. Les résultats réels pourraient différer sensiblement de ceux actuellement prévus en raison d'un certain nombre de facteurs et de risques. Ceux-ci incluent, sans s'y limiter, le risque que l'opération ne soit pas conclue au moment prévu ou pas du tout ni selon les modalités et conditions énoncées dans la convention d'arrangement ; l'impossibilité d'obtenir les approbations nécessaires auprès des actionnaires, des tribunaux, des autorités réglementaires et autres tiers pour procéder à la transaction ; les risques opérationnels dans le développement, l'exploration et la production du pétrole et du gaz ; les retards ou des changements de plans relatifs à des projets d'exploration ou de développement ou les dépenses en immobilisations ; l'incertitude des estimations des réserves et des ressources ; les risques liés à la santé, à la sécurité et à l'environnement ; le prix des matières premières et les variations des taux de change ; la commercialisation et le transport ; la perte de marchés ; les risques environnementaux ; la concurrence ; l'appréciation erronée de la valeur des acquisitions ; la possibilité d'accéder à des capitaux suffisants de sources internes et externes ; et des évolutions de la législation, y compris, mais sans s'y limiter, des lois fiscales, des redevances et des réglementations environnementales. Les lecteurs sont avertis que la liste de facteurs qui précède n'est pas exhaustive.
La direction a inclus le résumé ci-dessus des hypothèses et des risques liés aux informations prospectives figurant dans le présent communiqué de presse afin de fournir aux porteurs de titres une perspective plus complète sur la transaction proposée et ces informations ne sauraient convenir à d'autres fins. Les résultats, la performance ou les réalisations réels pourraient différer sensiblement de ceux exprimés ou sous-entendus dans ces énoncés prospectifs et, par conséquent, aucune garantie ne peut être donnée sur l'occurrence de l'un des événements prévus dans les énoncés prospectifs ni, le cas échéant, quels avantages peuvent en être dérivés.
Les énoncés et informations de nature prospective figurant dans le présent communiqué de presse sont valides à la date indiquée et Celtic ne s'engage nullement à mettre à jour publiquement tout énoncé ou information de nature prospective, que ce soit à la lumière de nouvelles informations, ou de futurs événements ou résultats, ou pour d'autres raisons, sauf tel que requis par la législation sur les valeurs mobilières.
Mesures et abréviations
Tous les montants en dollars sont exprimés en dollars canadiens, sauf indication contraire. Lorsque les montants sont exprimés en barils d'équivalent pétrole (« BOE »), les volumes de gaz naturel ont été convertis en équivalent pétrole, soit six mille pieds cubes par baril, et les volumes de soufre ont été convertis en équivalent pétrole, soit 0,6 tonne par baril. Le terme BEP peut porter à confusion, particulièrement s'il est utilisé hors contexte. Un taux de conversion BEP de six mille pieds cubes par baril est fondé sur une méthode de conversion d'équivalence énergétique principalement applicable au niveau du bec de brûleur et ne représente pas une équivalence en valeur au niveau de la tête de puits. Les références au « pétrole » dans ce texte incluent le pétrole brut et le gaz naturel liquéfié (« GNL »). Les GNL incluent le condensat, le pentane, le propane, le butane et l'éthane. Les références au « gaz » dans le texte incluent le gaz naturel et le soufre.
Le présent communiqué ne constitue pas une offre d'achat ni une sollicitation d'une offre de vente des titres, ni une sollicitation de votes à l'égard de tout titre. Les détenteurs de titres Celtic sont priés de lire la circulaire d'information avant de prendre toute décision d'investissement à l'égard de l'arrangement.
Contact  :
Celtic Exploration Ltd.
David J. Wilson
Président-directeur général
Tél. : 403-201-5340
Celtic Exploration Ltd.
Sadiq H. Lalani
Vice-président des finances et directeur financier
Tél. : 403-215-5310
Celtic Exploration Ltd.
Suite 600, 321 - 6th Avenue SW
Calgary, Alberta, Canada
T2P 3H3